Le Rooky Saloon [Bar]

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La musique était très forte, il y avait beaucoup d'hommes ivres qui "jouaient" avec des femmes là pour les distraire. Je ne mettais jamais les pieds dans un bar, mais j'avais besoin de quelque chose pour passer la nuit. Au moins la température était plus supportable ici.

Je m'assis au comptoire, entre un grand homme très musclé et une jeune fille avec de très beaux vêtements mais qui avait piteuse allure.

- Qu'est-ce que j'vous sert monsieur? me demanda le barman.
- Du rhum je vous prie, répondis-je en lui tendant quelques pièces.

Le vieil homme déposa la coupe devant moi et je la callai cul-sec. J'avais un peu mal à la tête, je n'avais pas l'habitude de boire de l'alcool. Enfin, il m'arrivait de boire du champagne, mais ce n'est rien comparé à la boisson que l'on venait de me servir. Quelques minutes plus tard, le barman m'en servit une autre pleine.

- Non merci, dis-je en la dégageant, ça va aller.
- Oh, mais c'est de la part de la jeune fille au fond là-bas! dit-il en pointant une jeune femme.

Je la remercia de la tête avant de terminer ma seconde coupe.

Je commenbçais à réaparaitre...

Au bar!

Ooooh un endroit familier! Et quyi vois je au comptoir? mon potes puceau (voila ce que je retiendrait chez lui) Je m'assoie à coté de lui et commande de la tequila frappée.

-alors sa vas mon potes depuis la dernière fois? Pourquoi t'es là tout seul?

Mais qu'est-ce qu'elle fichait là elle? Ah, mais quelle question stupide après tout...

- Rien, répondis-je fermement.

Effectivement, qu'est-ce que je faisais à poirotter à ce comptoir, moi? Je ne m'étais même pas posé la question. Ce que je savais, c'est que j'étais mieux d'arrêter de boire sous peine d'être malade.

ma tequila servitn, je la but cul sec, mais j'allai m'arrèter là (moi? être raisdonnable? nannnn) Je dit :

-Hé copain, pourquoi t'es sortit de ton chateau?

- Je déteste cet endroit, ceux qui y vivent.

Pourtant, j'y étais si heureux il y a plus de quinze ans. Ma il a fallut qu'elle s'incruste en elle, la ronge de l'intérieur, pour ensuite me l'arracher et m'abandonner à lui.

"Bon, aller, ressaisis-toi, Sev! Tu vas pas te mettre à pleurer devant elle!" pensai-je en m'essuyant les yeux discrètement.

Ow, il allait se mettre à chialer, l'effet de l'alcool sans doute, enfin je voualis pas qu'il chiale devant moi!

-Ben c'est pas comme si vous cramiez une église hein!

Je lui fit mon plus beau sourire, contente de ma blague, parce que cramer une église ça se fait pas quand même!

Je voulus me lever, mais étourdi par l'alcool je m rasseya. Merde! J'étais obligé de rester là, avec elle et ses blagues stupides.

- J'vous en prie, n'essayez plus de me faire rire, vous empirez les choses, murmurai-je.

Je passa ma main dans mes cheveux et accota mon menton sur ma main. Je devais faire peine à voir.

Il fesait peine à voir, en plus en blagues j'était naze, surtout saoul...
Hop une autre tequila, la j'était beurré, j'ai passé ce que j'appelai '
"le stade critique", je me met à chialer pour rien, parce que le papillion sur la fenêtre il vas mourir, parce que personne ne m'aime, puis si je continues à boire je cours après des couleurs verte et je me met a buter des fourmis elfes...
ça y est je chiale pour rien, au mojuns je lui fout la paix à l'autre.

Bon, aller, je dois me ressaisir! Je me secoue la tête et tente de me lever plus doucement puis me dirige vers la porte. Il faisait trop chaud ici, la musique était trop forte!

[sutie dans les rues...]

Moi je reste la et je picole, encore et encore...
Puis je me lèves et je me met à gueuler dans la rue...

[suite dans la rue...]

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Ça empestait l'alcool. Il devait bien y avoir une dizaine de saoulons ici. Tous des laiderons probablement célibataires, vu leur incroyable dépendance envers l'alcool et la bave ruisselant sur leur bouche à la vue des jeunes femmes qui se trémoussaient devant eux. Pourtant, l'un d'un était classe. Il avait un beau visage, de beaux traits et il était musclé. Le genre de tombeur qui baise à tous les jours avec une fille différente.
Il était vachement beau. Mais évidement, ce grand macho devait être hétéro. J'allais lui donner une bonne leçon. Peut-être qu'après il acceptera de coucher avec moi.
"-Hé, le beau mec! Tu sais que j'viens d'me farcir ta femme?"
Il s'est levé et est devenu rouge. Apparement il n'aimait pas mon humour. Dommage. Il s'est lancé sur moi à la façon d'un taureau, les bras en guise de cornes. Trop ivre pour bien me viser, il s'est abbatu sur le mur d'à côté. Ses copains formaient un cercle autour de lui, l'incitant à continuer. Comme s'il avait une chance.
L'un d'entre eux, que je crois être le barman, lui a lancé une hache. L'alcool avait tellement abîmé ses réflexes qu'il a failli ne pas l'attraper et s'ouvrir le thorax. Par chance, il l'a saisit au vol et s'est relevé.
"-On fait moins l'mâlin, hein, quand notre adversaire possède une hache?
-Oh, oui monsieur. Vous m'faites peur avec votr'hache. J'abandonne. Pourquoi ne pas baiser, pour se réconcilier?"
Le saoulon fut si surpris de cette déclaration qu'il a passé à un doigt de se décrocher la mâchoire tellement il avait la bouche grande ouverte. Il chargea de nouveau et me rata, encore une fois, de plusieurs mètres. Ah, ces hétéros! Tous semblables.
Je le plaqua sur le mur et l'embrassa avant de repartir.
[Prochain post dans la rue]

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La même ambiance reignait toujours dans cet endroit, ainsi que la forte odeur d'alcool. Toujours les même filles qui se dandinaient devant tous ces regards pervers.

- Se battre tu disais? Tu te fous de moi là?

-Je ne me fous pas du tout de toi. Trouve un mec de ta force, pas trop saoul de préférence, et va le narguer. C'est vraiment amusant. Regarde.
Je m'avança vers un mec plutôt musclé et à l'allure louche et lui souffla quelques mots à l'oreille. Celui-ci se leva et vint me sauter au visage.
J'eu à peine le temps de voir le visage en furie du barman qui m'a reconnu avant dele voir sortir un couteau de sa botte.
Merde.

Bon, je ne pouvais tout de même pas rester là à ne rien faire. Je ne tenais tout de même pas à ce qu'il se face décapiter. Qu'elle idée aussi. Je m'empressai de me diriger vers le mur et saisis une épée qui y était accrochée. (Pas trop pratique, comme décoration.)

Je me plaçai devant Raphael, pointant l'épée, près à attaquer.

- Et que penserait Lionel, si vous oseriez vous attaquer à son fils? dis-je, sûr de moi. (Peut-être un peu trop.)

Oh, le bon petit seigneur qui venait à la rescousse du peuple. J'aurais pu m'en passer. J'dois avoir l,air d'un bel abruti, là. J'aida Sevastian à repousser le mec à l'aide de mon épée, puis c'est à lui que je m'en prit:
-Rien de méchant. Juste un p'tit combat. Le premier qui touche l'autre fait un point!, dis-je d'un tou enjoué.

Mais, qu'est-ce qu'il me comptait là, lui?

- Mais, si quelqu'un touche l'autre, l'un de nous sera blessé, non?

Bon, je ne m'étais jamais réellement battu contre une vraie personne. Il y a une différence entre un homme et un simple sac d'entraînement.

J'ignora sa réponse. Il n'y avait rien à dire, l'un de nous allait effectivement se blesser. Les ivrognes formèrent un cercle autour de nous en poussant des jurons. Pauvres petits saoulons qu'ils étaient.
Après plusieurs minutes, je réussit à toucher mon Lord sur la cuisse. Il n'a pas été vraiment blessé.
Du moins, je crois.

Décidemment, je manquais de pratique. Vraiment. Je jettai mon épée aux pieds de mon adversaire:

- Bravo, crachai-je.

Je posa mon regard sur ma cuisse pour voir quels étaients les dégâts. Bon, j'allais survivre. Ce n'était qu'une coupure, elle n'était pas SI profonde. Je dois admettres que je ressentis une certaine douleur, mais c'était normal, pas vrai?

Reprenant mon éternel côté rabbat-joie, je tournai les talons, ouvris les portes du bar et en sortis. La pluie commençait à tomber.

[suite dans les rues...]

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Me suis assise au comptoir et j'ai bu, beaucoup, trop d'ailleurs, juste pour oublier. Juste pour fuir toute cet merde.Quel enculé, et pourquoi ça me mettait dans un état pareil, c'était un bouffon de plus, ilk savait ce qu'il voulais, lui, c'est pas le premier qui me trahis et c'est pas le dernier, mais c'était un de trop....
je regardais la bouteille devant moi et je prit conscience d'un truc, ç chaque fois qu'il m'arrivais un mauvais coup du sort, j'allai picoler, et comme ma vie c'était un peu de la merde en boite, je passais ma vie saoule,
-J'suis une putain d'alcoolique...
Un mec m'a aproché et m'a toucher les fesses.
-Qu'est ce que t'as, connard?
Je lui ai tapé la tête contre la table, ça lui appprendra à emmerder les filles.Et merde il bouge plus, tant pis je me casses, j'ai bien une "amie" chez qui je peux me pioter tranquille...